Un normalisateur qui ramène Jésus-Christ au centre et qui est moins protagoniste. Un pape qui n'est pas un centralisateur mais qui, en même temps, ne détruit pas la Curie romaine. Un pape qui sait parler au monde mais qui, en même temps, n'efface pas les traditions mais sait les préserver. Un pape qui peut mettre de l'ordre et qui comprend les défis juridiques importants nécessaires pour rétablir l'ordre dans ce que le pape François a défini comme « une réforme en mouvement ».
Les cardinaux qui arrivent à Rome pour le conclave dessinent le profil du nouveau pontife.
De nombreuses caractéristiques sont difficiles à trouver chez une seule personne. La capacité du nouveau pape à former un groupe, à être collégial plutôt que synodal et à ne laisser personne de côté pèsera également dans le choix.
Beaucoup évoquent le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'État du Vatican. C'est actuellement le favori des bookmakers dans les paris en ligne. Ce dernier est considéré comme un normalisateur qui ne ferait pas trop de révolutions....
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